CentraleSupélec

CentraleSupélec a pour ambition de devenir une institution de formation de référence internationale. Pour y parvenir : son excellence dans le domaine des sciences fondamentales et appliquées telles que les mathématiques, physique, sciences de l’information et technologies de l’ingénieur, énergétique, procédés, mécanique et génie industriel.

International

International Publié le 14/02/2024

Bienvenue à nos 70 étudiants internationaux venus passer leur semestre 8 sur notre campus de Paris-Saclay. Ils viennent de 18 pays Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, Espagne, EEUU, Hong-Kong, Hongrie, Italie, Kenya, Maroc, Mexique, Singapour, Suède, Taiwan, Turquie) représentant 26 institutions différentes. Plus d'infos avec :

Merci à l'association PICS pour les photos.

 

International Publié le 02/02/2024

Félicitations à Léo-Paul Brunel, élève-ingénieur CentraleSupélec, qui vient d'être diplômé de la prestigieuse université de Cambridge (département Industrial Systems, Manufacturing and Management).

Il a également obtenu le prix Sharman, récompensant la "Meilleure performance pour les projets industriels" parmi les quarante étudiants de sa cohorte. « Ravi que les quatre projets de conseil que j'ai entrepris dans les domaines de la numérisation et de la gestion d'entreprise aient été considérés comme les plus impactants. »

Il travaille maintenant comme Product Builder chez Greenly | Certified B Corp, qui aide les entreprises à mesurer et à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre afin d'atténuer le changement climatique.

International Publié le 18/10/2023

Chaque année, de nombreux élèves-ingénieurs choisissent d'effectuer des études en double diplôme avec des établissements étrangers, esentiellement des Masters scientifiques ou technologiques, parfois des doctorats. Certains d'entre eux ont été admis dans des établissements américains les plus prestigieux. Voir ci-dessous :

Massachusetts Institute of Technology ( MIT )

De gauche à droite :

Benjamin Rio, Valentin Pinon, Guillaume Allegre, Maxime Wolf, Anne Moncuit, Thomas de Montaigne de Poncins, Osman Monla et Kyle Allia

Inscrits au sein de programmes Masters in Finance, Business Analytics, Nuclear Engineering et Operations Research

 

Columbia

De gauche à droite :

Thibault Dumazy, Isaure Pilot, Matthieu Dominici, Tiphaine Briot, Max Salgueiro, Titouan Sire, Raphaël Bertin et Mandana Afchar

Inscrits pour des programmes Masters in DataScience, Earth and Environmental Engineering, Biomedical Engineering, Business Analytics, Computer Science, Operations Research et Science in Management Science and Engineering

Harvard

De gauche à droite :

Alexandra Ramassamy et Adèle Collin

Inscrites pour un double diplôme respectivement en Master in DataScience et Master Biomedical Informatics

Carnegie Mellon University

De gauche à droite :

Bao Nguyenen
Théodore Chapuis-Chkaiban
Virgile Rapegno
Loïc Lescoat (Computer Science

 

Inscrits dans des programmes Masters in Computer Science avec des spécialisations en Machine Learning et Information Networking

Berkeley

De gauche à droite

Bruno Tabet, Capucine Hustin, Paul Faverjon, Raphaël Levisse et Anand-Arnaud Pajaniradjane

Inscrits au sein de l'Industrial Engineering and Operations Research Department et Mechanical Engineering

 

Initiée en 2019, la coopération entre l’Université de Nairobi, CentraleSupélec – Université Paris-Saclay et quatre écoles du groupe ParisTech – AgroParisTech, Chimie ParisTech – PSL, École des Ponts ParisTech et Mines Paris – PSL – prend forme avec la visite au Kenya d’une délégation de onze personnes.

International Publié le 18/07/2023

CentraleSupélec – Université Paris-Saclay s’est rendue à Nairobi début juillet avec quatre écoles du groupe ParisTech pour participer aux premiers ateliers de lancement de l’accord tripartite signé à Paris le 11 mai dernier.

cooperation-académique-centralesupelec-Université-NairobiDès 2019, CentraleSupélec a participé à l’étude de faisabilité pour la réalisation du Complexe de la Science et de l’Ingénierie (ESC) que l’Université de Nairobi souhaite construire sur son campus de Chiromo à Nairobi. Ce projet, financé par l’Agence Française de Développement, verra les Facultés d’Ingénierie et de Sciences et Technologies collaborer pour mieux former les ingénieurs dont le Kenya a besoin, en accord avec la stratégie nationale 2030. Dans un même lieu seront réunis l’enseignement, la recherche et l’innovation, en lien avec les entreprises et avec une forte internationalisation.

Plusieurs visites de travail ont eu lieu entre 2019 et 2022, de la partie française au Kenya et de la partie kényane en France, dont une réunion de travail sur le campus de CentraleSupélec en 2022, réunissant les écoles françaises et l’Université de Nairobi, laquelle souhaite construire l’ESC à l’image du nouveau campus de l’École sur le plateau de Saclay.

La construction de l’ESC se double d’un volet partage et transfert de connaissances entre les parties française et kényane. CentraleSupélec – Université Paris-Saclay et les écoles du groupe ParisTech travailleront avec l’Université de Nairobi sur cinq piliers : la gouvernance et le modèle économique du complexe, la recherche et l’innovation, la refonte des cursus, les relations avec les entreprises et l’internationalisation. Ce déplacement a permis l’organisation d’ateliers et de réunions avec les différentes Facultés – Ingénierie et Sciences et Technologies, mais aussi Agriculture, et Business et Management – et le Directorate of University Advancement & Institutional Development pour définir plus concrètement les actions à mener.

Ouverture par le Vice-Chancelier et l’Ambassadeur de France au Kenya

Le Vice-Chancelier de l’Université de Nairobi, Pr. Stephen Kiama, a ouvert la semaine en rappelant l’importance de cette coopération pour l’établissement, qui bénéficiait ainsi non pas d’un seul partenaire, mais de l’expertise de cinq écoles d’ingénieurs et d’une université françaises. L’Ambassadeur de France au Kenya et en Somalie, S.E. Arnaud Suquet, a ajouté que cet accord tripartite était le projet phare de la coopération universitaire française au Kenya et pose les bases d’une collaboration qui pourra être répliquée dans d’autres pays. L’ESC ouvre ainsi la voie à des mobilités croisées d’étudiants, doctorants, chercheurs, enseignants et personnels et au partage d’expériences pour la création de valeur au Kenya.

Alors que Bertrand Willoquet, directeur pays de l’AFD au Kenya, a souligné que ce partenariat était gagnant-gagnant et que le complexe respecterait les valeurs environnementales en application de l’Accord de Paris, le Vice-Chancelier Adjoint en charge des affaires académiques, Pr. Julius Ogengò, a rappelé l’enthousiasme et l’impatience de l’Université à travailler avec les entreprises pour former des ingénieurs à même de relever les défis du XXIe siècle.

Pr. Fethi Beidoui, directeur des relations internationales à Chimie ParisTech a relevé, au nom de la délégation française, le rôle de leader Est-africain de l’Université de Nairobi, engagée dans l’excellence en matière d’éducation, de recherche et d’innovation. Il a réitéré l’engouement des écoles françaises pour accompagner l’université kényane à atteindre ses objectifs.

Un programme dense et des ateliers constructifs

A la suite de cette séance inaugurale se sont tenus des ateliers et conférences consacrés aux piliers du projet. Une première demi-journée a permis de rapprocher les entreprises, en particulier les cinq qui se sont d’ores-et-déjà engagées à collaborer avec l’Université de Nairobi – TotalEnergies, Elgon Kenya, Bureau Veritas, Schneider Electric et Saint Gobain, du monde universitaire. C’était l’occasion de faire émerger les besoins des entreprises et les attentes de l’Université afin de les faire converger et de travailler ensemble à la formation des ingénieurs de demain. C’est sur ce pilier que CentraleSupélec, via sa Direction des Relations Entreprises et de la Valorisation, s’est déjà engagée. Plusieurs ateliers en ligne ont permis au personnel du Directorate of University Advancement & Institutional Development, en particulier l’équipe de Marc Zolver, expert technique international en poste depuis septembre 2022, de se former. Les activités de formation, à distance ou en présentiel, vont se poursuivre, afin de doter l’Université de Nairobi d’un service permettant de rapprocher le monde industriel de la formation et de la recherche.

La deuxième journée a permis d’échanger sur les thématiques recherche et innovation. En petits groupes, mixant des personnels des Facultés d’Ingénierie, de Sciences et Technologies, d’Agriculture et de Business et Management, les interlocuteurs ont réfléchi aux améliorations à apporter à la recherche de l’Université de Nairobi et aux pistes pour y parvenir, incluant par exemple la mobilité doctorale, les échanges d’enseignants-chercheurs, les séminaires conjoints ou encore le rapprochement avec les entreprises. En matière d’innovation, l’Université conduit déjà plusieurs actions, comme le C4D lab (Computing for Development) sur le campus de Chiromo ou le futur ATIC (Agricultural Technology and Innovation Center) financé par Elgon Kenya sur le campus de la Faculté d’Agriculture. L’enjeu est aujourd’hui de capitaliser sur ces initiatives pour renforcer les dispositifs innovation et entrepreneuriat à Nairobi.

Une troisième journée a été consacrée à un sujet d’envergure : la réforme des cursus. Les échanges en petits groupes ont permis de faire émerger diverses possibilités pour mieux former les ingénieurs dont le pays et la région ont besoin. Plusieurs scénarios se sont dégagés, de la rénovation des cursus existants à la mise en place d’un parcours d’excellence en cinq ans, en passant par la mise en place de modules transversaux applicables à différents cursus. Cette troisième journée a aussi été l’occasion de présenter la situation actuelle de l’internationalisation de l’Université de Nairobi. Anne Nkoidila, qui pilote la création d’une direction des relations internationales avec l’appui de Marc Zolver, a fait un panorama des collaborations existantes, des attentes et des opportunités de coopération. L’Université a d’ores-et-déjà répondu à l’appel Erasmus+ Mobilité Intra-Africaine en tant que coordinatrice d’un consortium d’universités sud-africaine (University of Witwatersrand), rwandaise (Université du Rwanda) et nigériane (University of Lagos), dont le partenaire européen est l’Université Paris Sciences & Lettres. CentraleSupélec, via son Pôle Relations Internationales, s’attachera, avec Chimie ParisTech et l’Université Paris-Saclay, à déposer un projet de Renforcement des Capacités auprès du programme Erasmus+. Ce sera l’occasion pour l’Université de Nairobi d’accroitre son vivier d’expertise grâce à d’autres partenaires européens, notamment des Alliances Européennes EUGLOH et EELISA.

La visite à Nairobi s’est terminée par une demi-journée de travail sur les relations entreprises-université et les actions ou outils à mettre en place, puis une demi-journée de conclusion à l’Ambassade de France, avec l’Ambassadeur et le Service de Coopération et d’Action Culturelle. Cette réunion était l’occasion de faire le point sur les actions à venir, dès la rentrée 2023.

Perspectives

La signature de l’accord à Paris en mai puis son lancement à Nairobi en juillet ouvrent la voie à la structuration de la coopération en binômes franco-kenyans ou en comités selon les piliers.

Dès l’automne, un deuxième atelier cursus permettra de faire converger les diverses options évoquées et d’étudier leur faisabilité pour l’Université de Nairobi. En octobre, les chercheurs des écoles et université françaises participeront aux séminaires de recherche annuels organisés par les Facultés de l’Université de Nairobi de façon à identifier les axes de coopération scientifique à privilégier. La Direction des Relations Entreprises et de la Valorisation de CentraleSupélec poursuivra son accompagnement du Directorate of University Advancement pour consolider les relations entreprises-université. Le Pôle Relations Internationales quant à lui débutera son travail sur la structuration d’un bureau des relations internationales capable de gérer la mobilité étudiante, doctorante, enseignante et de personnel, mais aussi la demande et la gestion de financements européens et internationaux.

La délégation est revenue enthousiaste quant à la coopération qui se structure avec l’Université de Nairobi et impressionnée par la richesse des échanges et le dynamisme des équipes. Le Complexe Science et Ingénierie est un formidable projet pour l’Université, pour la coopération universitaire franco-kényane, mais aussi pour les cinq écoles et l’université partenaires en ce qu’elle permet d’étendre leur présence sur le continent africain et en particulier l’Afrique de l’Est.

International Publié le 12/05/2023

L’Université de Nairobi (Kenya) et quatre écoles du réseau ParisTech – AgroParisTech, École des Ponts ParisTech, Mines Paris – PSL, Chimie ParisTech – PSL – et CentraleSupélec – Université Paris-Saclay, ont signé un Accord de Partenariat Tripartite.

Un partenariat tripartite de 4 ans dédié au développement du Complexe Science et Ingénierie (ESC) à Nairobi

L’Université de Nairobi est la première université du Kenya, leader régional en sciences et ingénierie qui forme les futurs dirigeants du pays. Des séminaires, des conférences et des réunions seront ainsi organisés à Nairobi, Paris et à distance au cours des quatre prochaines années.

Vers le partage des connaissances et des compétences franco-keyanes

L’objectif de ce partenariat est de mettre en place un partage et un transfert de connaissances et de compétences à long terme, ainsi qu’un enseignement axé sur la pratique des connaissances technologiques et numériques, conformément au programme d’études, afin de répondre aux besoins croissants de l’Afrique de l’Est en matière d’industrie manufacturière et de services émergents.

L’Université de Nairobi construira l’ESC sur son campus de Chiromo, conformément à la stratégie nationale 2030 pour une meilleure industrialisation du pays, la création d’emplois plus verts et plus durables, et pour relever les défis mondiaux. Les partenaires partageront leur savoir–faire et leurs meilleures pratiques dans cinq domaines : la gouvernance, les programmes d’études, les liens entre l’université et les entreprises, la recherche et l’innovation, et l’internationalisation. L’ESC sera partiellement financé par un prêt souverain de l’Agence
française de développement (AFD).

Romain Soubeyran, directeur général de CentraleSupélec, a indiqué : « CentraleSupélec a hâte de poursuivre sa collaboration avec le Kenya et le continent africain dans son intégralité, à travers la mobilité étudiante, les partenariats académiques et les projets de recherche. Forts de notre expérience dans les relations avec les entreprises, nous continuerons de partager les bonnes pratiques et améliorer l’enseignement en ingénierie et son adaptabilité à un monde du travail en perpétuelle évolution ».

International Publié le 28/03/2023

Un groupe d'étudiants du département Ingénierie de l'Université de Cambridge a passé une semaine à CentraleSupélec en tant qu'invités en mars 2023.

Ils ont visité des laboratoires et rencontré des chercheurs de MICS et EM2C. Le groupe d'accueil de 12 élèves-ingénieurs de CentraleSupélec (1ère année) retourne à Cambridge en avril.

Cet échange d'une semaine existe depuis 1996.

 

 

 

 

 

International Publié le 08/11/2022

CentraleSupélec a eu l'honneur de recevoir une délégation de 21 collègues enseignants-chercheurs Sri-Lankais, dont un "Vice-Chancellor", entre les 25 septembre et le 1er octobre derniers. 4 Universités du Sri Lanka sont en effet impliquées dans un projet européen visant à créer des formations sur la transition énergétique et l’économie circulaire pour les pays en développement.

Le projet s’intitule EUSL et implique l'Université de KTH (Suède), celle de Twenty (Pays-Bas) et CentraleSupélec donc (France) pour l'Europe. C'est le laboratoire de Génie Industriel de CentraleSupélec qui est précisément impliqué dans ce projet. Pascal Da Costa, enseignant-chercheur au sein du même laboratoire, en est le coordinateur.

En plus de séances de travail sur le projet, plusieurs visites scientifiques (des laboratoires dont le LGPM, le Soleil Synchrotron) et industrielles (EDF Lab Paris-Saclay et  le Syndicat Mixte des Ordures Ménagères (SIOM) ont été proposées pendant ce séjour.

Voir également le compte-rendu de la délégation sri-lankaise à KTH en Suède.

International Publié le 08/09/2022

Bravo à Manon Revel et Chloé Gentgen, toutes deux diplômées ingénieurs de CentraleSupélec, qui se sont faites remarquées au sein du Massachusetts Institute of Technology au sein duquel elles effectuent un doctorat.

International Publié le 21/07/2022

L’édition 2022 du classement thématique de Shanghai vient d’être publiée. Avec la présence de 85 établissements français classés, dans 47 palmarès disciplinaires sur les 54 que compte le classement, ce résultat illustre la capacité des institutions françaises à se différencier via les spécialisations scientifiques. Cette année, la France comptabilise au total 664 positions, soit 3,5 % des occurrences dans ces classements.

Les mathématiques à l'honneur

Les mathématiques sont la discipline dans laquelle la France s’illustre le plus. 36 établissements français sont classés dans cette discipline, ce qui représente 7,2 % du nombre total d’institutions dans le palmarès. Notre pays occupe en particulier deux des trois places du podium : 1er et 3ème rangs respectivement pour l’Université Paris-Saclay et Sorbonne Université.

Têtes de peloton et nouveaux entrants

  • 43 établissement classés apparaissent dans au moins un des Tops 100 thématiques, contre 40 en 2021, au travers de 165 positions réparties sur 36 disciplines. Parmi les plus représentées, se trouvent l'Université Paris-Saclay (classée dans 27 disciplines), Sorbonne Université (16 disciplines), l'Université Grenoble Alpes (15 disciplines), Paris Sciences et Lettres (15 disciplines) et l'Université de Montpellier (11 disciplines).
     
  • 19 établissements français figurent également dans les Tops 50 thématiques de ce classement : l'Université Paris Saclay (classée dans 10 disciplines différentes), Sorbonne Université (9 disciplines), ainsi que Paris Sciences et Lettres, l'Université Grenoble Alpes et l’Université de Montpellier, chacune classées 6 fois dans les Tops 50.
     
  • 7 établissements français font leur entrée au classement, notamment en Océanographie (Université de Caen), en Technologies médicales (universités de Caen et Reims Champagne Ardenne), en Sciences vétérinaires (ENVT et Oniris), en Génie mécanique (Cnam) et en Mathématiques (Universités Picardie Jules Verne et Littoral-Côte-d'Opale).
     
  • Le communiqué de presse du Ministère de l'enseignement et de la recherche.

 

International Publié le 19/05/2022

Pierre Laurentin est élève-ingénieur en seconde année. En septembre, il rejoint Polytechnique Montréal pour passer un diplôme de master en Aérospatial et Mécanique des fluides. Pierre nous explique les raisons de son choix. Il vise dans un second temps une carrière de chercheur en effectuant au préalable une thèse. Son interview ci-dessous.

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