CentraleSupélec

CentraleSupélec a pour ambition de devenir une institution de formation de référence internationale. Pour y parvenir : son excellence dans le domaine des sciences fondamentales et appliquées telles que les mathématiques, physique, sciences de l’information et technologies de l’ingénieur, énergétique, procédés, mécanique et génie industriel.

Recherche

Recherche Publié le 02/04/2020

Plusieurs centaines de litres de solutions hydroalcooliques ont déjà été produits en quelques jours et livrés dans les hôpitaux des environs du plateau de Saclay pour venir en aide aux soignants.

Dans un contexte de pénurie des solutions hydroalcooliques au niveau national, la Faculté des Sciences et les laboratoires de l'Université Paris-Saclay se mobilisent et s’engagent en concentrant les ressources mobilisables à cette production. Côté CentraleSupélec, c'est le le laboratoire LuMin (Laboratoire Lumière, Matière et Interfaces avec UPSaclay, ENS Paris-Saclay/CNRS) qui est impliqué.

 

Recherche Publié le 27/03/2020

Un consortium d'établissements universitaires et hospitaliers rassemblant l' AP-HP, Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, le laboratoire URB2i de l'Université de Paris et Université Sorbonne Paris Nord, le centre de simulation ILumens Paris Diderot, l'INSERM, avec La Fabrique, le "fablab" de CentraleSupélec s'est créé pour fournir des visières de protection aux personnels soignants.

Les premiers exemplaires, validés par l'AP-HP, sont arrivés à l’hôpital Pompidou. Des fabrications sont en cours dans de nombreux fab-labs, établissements académiques et particuliers, en Ile-de-France et en province.

Le besoin est énorme et des entreprises se sont rapprochées du consortium pour aider à la production en série de ces visières. Si, vous aussi, vous souhaitez contribuer à cet effort, contactez-nous sur l'adresse email dédiée : pmvisiere@gmail.com

 

Recherche Publié le 12/03/2020

CentraleSupélec, avec la collaboration de l'INSERM et Université Paris-Saclay, s'allie avec l'Institut Gustave Roussy, en lançant le Centre National de Précision en oncologie, PRISM. Ce centre de médecine de précision de deuxième génération aura pour mission de modéliser le cancer à l’échelle individuelle en créant des avatars numériques des tumeurs. L’objectif est d’identifier très tôt dans la maladie les patients porteurs de cancers les plus agressifs, sans attendre les rechutes, afin de leur proposer le traitement le plus approprié dès le début de la prise en charge, en s’appuyant sur l’immense volume de données cliniques, biologiques et moléculaires et leur analyse par intelligence artificielle. PRISM mènera des études cliniques de grande ampleur et développera des technologies d’analyse moléculaire et des méthodes d’analyse de données.

Coordonné par le professeur Fabrice André, directeur de la recherche de Gustave Roussy, directeur de recherche Inserm et professeur à l’Université Paris-Saclay, Prism vise à révolutionner la compréhension des mécanismes moléculaires et biologiques de développement et de progression du cancer grâce à l’intelligence artificielle. A partir des données de plus en plus riches et de types variés (cliniques, génomiques, microbiologiques, d’imagerie…), les algorithmes d’apprentissage permettent de développer des outils de diagnostic et de pronostic plus fins, et ainsi de proposer des thérapies personnalisées en fonction des caractéristiques de l’individu.

Financé par l’Agence Nationale de la Recherche, le Prism a reçu en 2018 le label IHU, puis le label Centre National de Médecine de Précision.

Deux laboratoires de l'Ecole sont impliqués dans ce projet :

  • Le laboratoire MICS ( Mathématiques et Informatique pour la Complexité et les Systèmes ) qui a travaillé sur de nouvelles méthodes et de nouveaux raisonnements de traitement de données via des algorithmes. La variété et l'immensité des volumes de data recueillies étant trop importantes au niveau de la capacité humaine de traitement, ce laboratoire propose donc l'aide de solutions IA qui savent trier, analyser et interpréter toutes les données médicales.
     
  • Le laboratoire CVN (Centre de Vision numérique), lui, intervient essentiellement en imagerie médicale, radiologie grâce notamment à l'usage de l'apprentissage profond ou deeplearning.

Voir ci-dessous les vidéos réalisées lors du lancement officiel du projet le 10 mars 2020 :

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Recherche Publié le 09/03/2020

Le campus de Metz CentraleSupélec s'est impliqué le 8 mars dernier à promouvoir le rôle des femmes au sein de la recherche lors de la Journée internationale des droits de la femme. Voici une vidéo présentant des chercheuses collaborant au sein de la chaire Photonique. A noter que cette initiative a été réalisée avec le Département de la Moselle.

Recherche Publié le 05/03/2020

Le chercheur Ronan Sauleau fait partie des 22 lauréats 2020 de la médaille d'argent du CNRS. Il est directeur du laboratoire IETR (Institut d'Électronique et de Télécommunications de Rennes) coordonné avec INSA Rennes/Université Rennes/CNRS/Université de Nantes/ CentraleSupélec).

La médaille d'argent du CNRS distingue des chercheurs et des chercheuses pour l'originalité, la qualité et l'importance de leurs travaux, reconnus sur le plan national et international.

Recherche Publié le 17/02/2020

CentraleSupélec s'allie avec l'Agence spatiale européenne pour lancer l’ESA_Lab@ CentraleSupélec. Objectif : développer l’intérêt et la connaissance des activités d’exploration pacifique de l’espace et les applications transverses qui en découlent, telles que la surveillance du climat, l'observation de la Terre, la sécurité, la durabilité, la gestion des risques, l'économie spatiale…

Dans ce cadre seront mises en place des visites, conférences, formations thématiques novatrices, portées par différentes équipes d’enseignement et de recherche. L’objectif est d’inciter les nouveaux ingénieurs CentraleSupélec à s’emparer de ce nouvel espace économique, via, entre autres, le programme européen Copernicus. L’École met ainsi en place avec son laboratoire Sondra, avec l’assistance de l’ESA et du service Research and User Support Copernicus, une séquence de cours sensibilisant les élèves aux objectifs de développement durable des Nations Unies et à l’utilisation des images satellites pour des applications allant de l’environnement à la sécurité.

A l'occasion de la mise en place de cet accord, une table ronde intitulée "Changement Climatique, urgence et responsabilité" est proposée aux étudiants de CentraleSupélec au théâtre Joël Rousseau avec la participation de :

  • Claudie Haigneré, spationaute et conseillère ESA
  • Etienne Klein, physicien et philosophe, directeur de recherche au CEA (LARSIM)

 

Recherche Publié le 06/02/2020

Le campus de Paris-Saclay a accueilli le 5 février la remise des diplômes des élèves des programmes Master recherche issus de l'Université de Paris-Saclay. Retour en images.

 

Recherche Publié le 06/02/2020

La première édition de la journée annuelle des doctorants des laboratoires associés de CentraleSupélec a réuni plus de 120 doctorants, dont 50% d'élèves internationaux, le 5 février 2020.

Les trois campus et une grande majorité de laboratoires de l'Ecole étaient représentés, ainsi que CentraleSupélec Alumni ( Association des diplômés de l'École Centrale Paris, de l'École Supérieur d'Électricité (Supélec) et des élèves et diplômés de CentraleSupélec). Voir leur galerie images.

Retour en images, vidéos et tweets sur cet évènement :

Recherche Publié le 28/01/2020

Le laboratoire Mécanique des Sols, Structures et Matériaux (MSSMAT) a inauguré le 27 janvier 2020 son nouveau microscope électronique en transmission (MET*) dans le cadre du projet ATOMA (Analyses et observations : du micromètre à l'angström). C'est un microscope qui travail en mode MET conventionnel et en mode balayage STEM (Scanning Transmission Electron Microscope**).

Il dispose de différents porte-objets. Il est équipé d'une caméra CMOS à bas niveau de lumière et d'un système d'acquisition in-situ. Il est aussi équipé d'un système d'analyse EDS permettant les acquisition en modes ponctuel, ligne ou cartographie.

Ce microscope permet la caractérisation de tous types d'échantillons solides et secs, convenablement préparés... (métalliques, géologiques, chimiques, pharmaceutiques, biologiques, massifs ou particulaires, etc.

Il s'agit d'un microscope destiné à des usages plus quotidiens et conventionnels. Sa mise en service en novembre 2019 vient compléter l’offre de microscopie existante au laboratoire MSSMat : "TITAN", un microscope électronique à transmission (MET) de très haute résolution, et "HELIOS", un microscope électronique à balayage, équipé d'une sonde ionique focalisée (MEB/FIB). Ces équipements de premier plan font partie de l’EQUIPEX MATMECA et sont complémentaires de ce nouveau microscope en permettant aux chercheurs de CentraleSupélec et de la communauté de travailler sur les défis posés par le comportement des matériaux et des structures.

* La microscopie électronique en transmission (MET, ou TEM pour Transmission Electron Microscopy) est une technique de microscopie où un faisceau d'électrons est « transmis » à travers un échantillon très mince. Les effets d'interaction entre les électrons et l'échantillon donnent naissance à une image, dont la résolution peut atteindre 0,08 nanomètre (voire 0,04 nm1,2). Les images obtenues ne sont généralement pas explicites, et doivent être interprétées à l'aide d'un support théorique. L'intérêt principal de ce microscope est de pouvoir combiner cette grande résolution avec les informations de l'espace de Fourier, c'est-à-dire la diffraction. Il est aussi possible d'étudier la composition chimique de l'échantillon en étudiant le rayonnement X provoqué par le faisceau électronique.

** Le balayage STEM est un type de microscope électronique dont le principe de fonctionnement allie certains aspects du microscope électronique à balayage et du microscope électronique en transmission. Une source d'électrons focalise un faisceau d'électrons qui traverse l'échantillon. Un système de lentilles magnétiques permet à ce faisceau de balayer la surface de l'échantillon à analyser.

Contexte de l'opération :

En 2017, le projet ATOMA (Analyses et observations : du micromètre à l'angström), concernant l'achat d'un Microscope Électronique en Transmission a été initié pour renouveler deux équipements vieillissants, un basé au sein du laboratoire MSSMat (UMR CNRS 8579) et un au laboratoire ICMMO (UMR CNRS 8182). Des réunions préparatoires avec les interlocuteurs/utilisateurs susceptibles d’être intéressés par l’usage d’un MET 200 kV LaB6 ont permis de converger vers l'achat d'un équipement mutualisant les besoins de 7 entités appartenant à différentes composantes de l’Université Paris-Saclay : l'ICMMO, le LCP, l’ISMO, l’IAS, l’OSUPS, mais aussi CentraleSupélec et l’ENS Paris-Saclay.

L’investissement pour l’acquisition du microscope a été rendu possible par l’aide de la région Île-de-France, l’Université Paris-sud et des LABEX CHARMMMAT, LaSIPS, et du CNRS.

Véronique Aubin, directrice du laboratoire Mécanique des Sols, Structures et Matériaux (MSSMAT).

A quoi sert un microscope électronique à transmission ?

cc @CS__Research @UnivParisSaclay @ENS_ParisSaclay @u_psud pic.twitter.com/cFP0NRP6JU

— CentraleSupélec (@centralesupelec) January 27, 2020

[#MICROSCOPIE]

Le nouveau microscope ATOMA installé au @MSSMat_cs inauguré hier est destiné à être utilisé-partagé par de nombreux acteurs scientifiques de @UnivParisSaclay

Explications de François Brisset de l'ICMMO (Institut de Chimie Moléculaire et des Matériaux d'Orsay). pic.twitter.com/ZpW4RGgc19

— CentraleSupélec (@centralesupelec) January 28, 2020

 

Recherche Publié le 20/01/2020

L'association étudiante Espérance en béton a organisé le 14 janvier 2020 un forum destiné à des collégiens du département de l'Essonne afin de les sensibliser, encourager à s'investir plus tard dans des activités, démarches scientfiques.

Interview ci-dessous de Maximilien, président de l'association :

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